The Police
«Roxane»
Présentation: Cette chanson est extraite du groupe Police , le chanteur du groupe
a écrit cette chanson à Paris en octobre 1977, Cette chanson traduit l'amour
pour une prostituée du nom de Roxanne, la lumière rouge évoquant le rouge du
feu des vitrines lorsque celle-ci est avec un client. Ici, le narrateur désire
simplement qu'elle arrête de se prostituer afin, sans doute, de pouvoir vivre
pleinement son amour avec.
Paroles:
Roxanne
You don't have to put on the red light
Those days are over
You don't have to sell your body to the night
Roxanne
You don't have to wear that dress tonight
Walk the streets for money
You don't care if it's wrong or if it's right
Roxanne
You don't have to put on the red light
Roxanne (Put on the red light)
Roxanne
I loved you since I knew you
I wouldn't talk down to you
I have you to tell just how I feel
I won't share you with another boy
I know my mind is made up
So put away your make up
Told you once I won't tell you again
It's a bad way
Roxanne
You don't have to put on the red light
Roxanne (Put on the red light)
Traduction:
Roxanne, tu n'es pas obligée d'allumer la lumière rouge
Cette époque est révolue
Tu n'es pas obligée de vendre ton corps à la nuit
Roxanne, tu n'es pas obligée de porter cette robe ce soir
De marcher dans la rue pour de l'argent
Tu n'en as rien à faire de savoir si c'est bien ou si c'est mal
Roxanne, tu n'es pas obligée d'allumer la lumière rouge
Roxanne, tu n'es pas obligée d'allumer la lumière rouge
Roxanne - allumer la lumière rouge (5x)
Je t'ai aimée dès que je t'ai connue
Je ne te parlerai pas avec condescendance
Je dois seulement t'avouer mes sentiments
Je ne te partagerai pas avec un autre garçon
Je sais que ma décision est prise
Alors enlève ton maquillage
Je te l'ai déjà dit, je ne te le dirai pas encore que c'est la mauvaise décision
Roxanne, tu n'es pas obligée d'allumer la lumière rouge
Roxanne, tu n'es pas obligée d'allumer la lumière rouge
Tu n'es pas obligée de - Roxanne - allumer la lumière rouge
Roxanne - allumer la lumière rouge...
Maxime & Alexandre (3A)
jeudi 18 juin 2009
Talkin' about a revolution // Tracy Chapman
Talkin about a revolution
Don't you know
They 're talkin about a revolution
It sounds like a whisper
Don't you know
They're talking about a revolution
It sounds like a whisper
While they're standing in the welfare lines
Crying at the doorsteps of those armies of salvation
Wasting time in the unemployment lines
Sitting around waiting for a promotion
Poor people gonna rise up
And get their share
Poor people gonna rise up
And take what's theirs
Don't you know
You better run, run, run...
Oh I said you better
Run , run, run ...
Finally the tables are starting to turn
Talkin bout a revolution
Parler De Révolution
[Refrain](x2)
Ne sais-tu pas
Qu'ils parlent de révolution
Cela résonne comme un murmure
Tandis qu'ils attendent l'aumône de l'Etat-providence
Pleurent aux portes de ces organisations charitatives
Perdent leur temps dans les files de chômeurs
Patientent dans l'espoir d'une promotion
[Refrain]
Les pauvres gens vont se révolter
Pour s'emparer de leurs biens
Les pauvres gens vont se révolter
Pour prendre ce qui leur revient
Ne sais-tu pas
Que tu ferais mieux de fuir, fuir, fuir ...
Oh à mon avis, tu ferais de mieux de fui r, fuir , fuir
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
A force de parler de révolution
Tandis qu'ils attendent l'aumône de l'Etat-providence
Pleurent aux portent de ces organisations charitatives
Perdent leur temps dans les files de chômeurs
Patientent dans l'espoir d'une promotion
[Refrain]
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
A force de parler de révolution (x2)
En 1988 Tracy Chapman a écrit la chanson « Talkin about a revolution ».
Elle est connue pour avoir chanté contre le racisme.
Aline (3A)
Don't you know
They 're talkin about a revolution
It sounds like a whisper
Don't you know
They're talking about a revolution
It sounds like a whisper
While they're standing in the welfare lines
Crying at the doorsteps of those armies of salvation
Wasting time in the unemployment lines
Sitting around waiting for a promotion
Poor people gonna rise up
And get their share
Poor people gonna rise up
And take what's theirs
Don't you know
You better run, run, run...
Oh I said you better
Run , run, run ...
Finally the tables are starting to turn
Talkin bout a revolution
Parler De Révolution
[Refrain](x2)
Ne sais-tu pas
Qu'ils parlent de révolution
Cela résonne comme un murmure
Tandis qu'ils attendent l'aumône de l'Etat-providence
Pleurent aux portes de ces organisations charitatives
Perdent leur temps dans les files de chômeurs
Patientent dans l'espoir d'une promotion
[Refrain]
Les pauvres gens vont se révolter
Pour s'emparer de leurs biens
Les pauvres gens vont se révolter
Pour prendre ce qui leur revient
Ne sais-tu pas
Que tu ferais mieux de fuir, fuir, fuir ...
Oh à mon avis, tu ferais de mieux de fui r, fuir , fuir
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
A force de parler de révolution
Tandis qu'ils attendent l'aumône de l'Etat-providence
Pleurent aux portent de ces organisations charitatives
Perdent leur temps dans les files de chômeurs
Patientent dans l'espoir d'une promotion
[Refrain]
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
Mais enfin les choses commencent à bouger
A force de parler de révolution
A force de parler de révolution (x2)
En 1988 Tracy Chapman a écrit la chanson « Talkin about a revolution ».
Elle est connue pour avoir chanté contre le racisme.
Aline (3A)
Libellés :
Talkin' about a revolution,
Tracy Chapman
Sunday bloody sunday // U2
Sunday Bloody Sunday
I can't believe the news today
I can't close my eyes and make it go away
How long, how long must we sing this song ?
How long ? Tonight we can be as one
Broken bottles under children's feet
Bodies strewn across a dead end street
But I won't heed the battle call
It puts my back up, puts my back up against the wall
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
And the battle's just begun
There's many lost, but tell me who has won?
The trenches dug between our hearts
And mother's children, brothers, sisters torn apart
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
How long, how long must we sing this song ?
How long ? Tonight we can be as one
Tonight, tonight
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
Wipe the tears from your eyes
Wipe your tears away
Wipe your bloodshot eyes
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
And it's true we are immune
When fact is fiction and T.V. is reality
And today the millions cry
We eat and drink while tomorrow they die
The real battle just begun
To claim the victory Jesus won
On a Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
Traduction
"Dimanche, Dimanche Sanglant"
Je ne peux pas croire les informations aujourd’hui
Je ne peux même pas fermer les yeux et faire disparaître tout ça
Combien de temps, combien de temps devons-nous chanter cette chanson ?
Combien de temps ? Ce soir, nous pouvons être unis
Des bouteilles brisées sous des pieds d'enfants
Des corps qui jonchent une rue sans issue
Mais je n’écouterais pas le cri de guerre
Il me met dos au mur, dos au mur
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Et la bataille vient de commencer
Beaucoup sont perdus, mais dites-moi qui a gagné ?
Des tranchées sont creusées dans nos cœurs
Et des mères, des frères et des sœurs déchirés
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Combien de temps, combien de temps devrons nous chanter cette chanson ?
Combien de temps ? Ce soir, nous pouvons être unis
Ce soir, ce soir
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Sèche tes larmes
Essuie tes larmes
Essuie tes yeux injectés de sang
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Et c'est vrai que nous sommes immunisés
Quand les faits sont de la fiction et la télé la réalité
Et aujourd'hui des millions de gens pleurent
Nous mangeons et nous buvons tandis que demain ils mourront
La vraie bataille vient de commencer
Pour clamer la victoire remportée par Jésus
Un dimanche, un dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Une chanson engagée:
Cette chanson est engagée car ses paroles décrivent les évènements de Derry en 1972, connus sous le nom de Bloody Sunday, où treize manifestants pacifiques, dont sept de moins de 19 ans, furent tués par des tirs de l'armée britannique, à l'issue d'une marche réclamant le respect des droits civiques en Irlande du nord.
Marine & Justine (3A)
I can't believe the news today
I can't close my eyes and make it go away
How long, how long must we sing this song ?
How long ? Tonight we can be as one
Broken bottles under children's feet
Bodies strewn across a dead end street
But I won't heed the battle call
It puts my back up, puts my back up against the wall
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
And the battle's just begun
There's many lost, but tell me who has won?
The trenches dug between our hearts
And mother's children, brothers, sisters torn apart
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
How long, how long must we sing this song ?
How long ? Tonight we can be as one
Tonight, tonight
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
Wipe the tears from your eyes
Wipe your tears away
Wipe your bloodshot eyes
Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
And it's true we are immune
When fact is fiction and T.V. is reality
And today the millions cry
We eat and drink while tomorrow they die
The real battle just begun
To claim the victory Jesus won
On a Sunday, bloody Sunday
Sunday, bloody Sunday
Traduction
"Dimanche, Dimanche Sanglant"
Je ne peux pas croire les informations aujourd’hui
Je ne peux même pas fermer les yeux et faire disparaître tout ça
Combien de temps, combien de temps devons-nous chanter cette chanson ?
Combien de temps ? Ce soir, nous pouvons être unis
Des bouteilles brisées sous des pieds d'enfants
Des corps qui jonchent une rue sans issue
Mais je n’écouterais pas le cri de guerre
Il me met dos au mur, dos au mur
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Et la bataille vient de commencer
Beaucoup sont perdus, mais dites-moi qui a gagné ?
Des tranchées sont creusées dans nos cœurs
Et des mères, des frères et des sœurs déchirés
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Combien de temps, combien de temps devrons nous chanter cette chanson ?
Combien de temps ? Ce soir, nous pouvons être unis
Ce soir, ce soir
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Sèche tes larmes
Essuie tes larmes
Essuie tes yeux injectés de sang
Dimanche, dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Et c'est vrai que nous sommes immunisés
Quand les faits sont de la fiction et la télé la réalité
Et aujourd'hui des millions de gens pleurent
Nous mangeons et nous buvons tandis que demain ils mourront
La vraie bataille vient de commencer
Pour clamer la victoire remportée par Jésus
Un dimanche, un dimanche sanglant
Dimanche, dimanche sanglant
Une chanson engagée:
Cette chanson est engagée car ses paroles décrivent les évènements de Derry en 1972, connus sous le nom de Bloody Sunday, où treize manifestants pacifiques, dont sept de moins de 19 ans, furent tués par des tirs de l'armée britannique, à l'issue d'une marche réclamant le respect des droits civiques en Irlande du nord.
Marine & Justine (3A)
Dear Mr President // Pink
Pink, Dear Mr. President, chanson extraite de l’album I’m not dead sorti en 2006
Dans cette chanson Pink s’adresse directement au président des U.S.A (Bush à l’époque) et dénonce les problèmes sociaux de son pays : la guerre en Irak, l’isolation des enfants handicapés, les sans-abris et le refus des homosexuels.
Pink critique donc sous la forme d’une lettre chantée de nombreux aspect du mode de vie du président américain.
Dear Mr. President
Come take a walk with me
Let's pretend we're just two people and
You're not better than me
I'd like to ask you some questions if we can speak honestly
What do you feel when you see all the homeless on the street
Who do you pray for at night before you go to sleep
What do you feel when you look in the mirror
Are you proud
How do you sleep while the rest of us cry
How do you dream when a mother has no chance to say goodbye
How do you walk with your head held high
Can you even look me in the eye
And tell me why
Dear Mr. President
Were you a lonely boy
Are you a lonely boy
Are you a lonely boy
How can you say
No child is left behind
We're not dumb and we're not blind
They're all sitting in your cells
While you pay the road to hell
What kind of father would take his own daughter's rights away
And what kind of father might hate his own daughter if she were gay
I can only imagine what the first lady has to say
You've come a long way from whiskey and cocaine
How do you sleep while the rest of us cry
How do you dream when a mother has no chance to say goodbye
How do you walk with your head held high
Can you even look me in the eye
Let me tell you bout hard work
Minimum wage with a baby on the way
Let me tell you bout hard work
Rebuilding your house after the bombs took them away
Let me tell you bout hard work
Building a bed out of a cardboard box
Let me tell you bout hard work
Hard work
Hard work
You don't know nothing bout hard work
Hard work
Hard work
Oh
How do you sleep at night
How do you walk with your head held high
Dear Mr. President
You'd never take a walk with me
Would you
Cher M. le President,
Venait vous promenez avec moi.
Prétendons que nous ne sommes que deux personnes et
Vous n'êtes pas meilleur que moi.
J'aimerai vous posez quelques questions si nous pouvons parler honnêtement
Que rensentez-vous quand vous voyez tous ces sans-abris dans les rues ?
Pour qui priez vous avans d'aller dormir ?
Que rensentez vous quand vous regardez dans un mirroir ?
Etes-vous fier ?
Comment pouvee-vous dormir pendant que ceux qui restent pleurent ?
Comment pouvez-vous rêver quand une mère n'a pas la chance de dire au revoir ?
Comment pouvez-vous marcher la tête haute ?
Pouvez vous me regarder dans les yeux et me dire pourquoi ?
Cher Mr le Président,
Etiez-vous solitaire ?
Etes-vous seul ?
Comment pouvez-vous dire :
« Aucun enfant n’est laissé de côté » ?
Nous ne sommes pas muets, nous ne sommes pas aveugles !
Ils sont tous là dans vos cellules,
Tandis que vous payez la route vers l’enfer.
Quel genre de père peut retirer les droits de sa propre fille ?
Et quel genre de père peut haïr sa fille parce qu’elle est gay ?
Je ne peux qu'imaginer ce que la Première Dame doit vous dire …
Vous revenez de loin entre le whiskey et la cocaïne.
Comment pouvez-vous dormir tandis que nous tous pleurons ?
Comment pouvez-vous rêver alorsqu’une mère n’a pas la chance de dire au revoir ?
Comment pouvez-vous marcher en gardant la tête
haute ?
Pouvez-vous seulement me regarder dans les yeux?
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur..
le salaire minimum en attendant un bébé
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur
Reconstruire sa maison après que les bombes
l’aient emportée.
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur.
Construire un lit avec des cartons.
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur.
Dur labeur!
Dur labeur!
Vous ne connaissez rien au dur labeur !
Dur labeur!
Dur labeur!
Comment pouvez-vous dormir tandis que nous tous pleurons ?
Comment pouvez-vous marcher la tête haute ?
Cher Mr le Président,
Vous ne reviendrez plus jamais fair un tour avec moi ?
N’est ce pas ?
Angéline, Mallaury, Justine & Marion (3A)
Dans cette chanson Pink s’adresse directement au président des U.S.A (Bush à l’époque) et dénonce les problèmes sociaux de son pays : la guerre en Irak, l’isolation des enfants handicapés, les sans-abris et le refus des homosexuels.
Pink critique donc sous la forme d’une lettre chantée de nombreux aspect du mode de vie du président américain.
Dear Mr. President
Come take a walk with me
Let's pretend we're just two people and
You're not better than me
I'd like to ask you some questions if we can speak honestly
What do you feel when you see all the homeless on the street
Who do you pray for at night before you go to sleep
What do you feel when you look in the mirror
Are you proud
How do you sleep while the rest of us cry
How do you dream when a mother has no chance to say goodbye
How do you walk with your head held high
Can you even look me in the eye
And tell me why
Dear Mr. President
Were you a lonely boy
Are you a lonely boy
Are you a lonely boy
How can you say
No child is left behind
We're not dumb and we're not blind
They're all sitting in your cells
While you pay the road to hell
What kind of father would take his own daughter's rights away
And what kind of father might hate his own daughter if she were gay
I can only imagine what the first lady has to say
You've come a long way from whiskey and cocaine
How do you sleep while the rest of us cry
How do you dream when a mother has no chance to say goodbye
How do you walk with your head held high
Can you even look me in the eye
Let me tell you bout hard work
Minimum wage with a baby on the way
Let me tell you bout hard work
Rebuilding your house after the bombs took them away
Let me tell you bout hard work
Building a bed out of a cardboard box
Let me tell you bout hard work
Hard work
Hard work
You don't know nothing bout hard work
Hard work
Hard work
Oh
How do you sleep at night
How do you walk with your head held high
Dear Mr. President
You'd never take a walk with me
Would you
Cher M. le President,
Venait vous promenez avec moi.
Prétendons que nous ne sommes que deux personnes et
Vous n'êtes pas meilleur que moi.
J'aimerai vous posez quelques questions si nous pouvons parler honnêtement
Que rensentez-vous quand vous voyez tous ces sans-abris dans les rues ?
Pour qui priez vous avans d'aller dormir ?
Que rensentez vous quand vous regardez dans un mirroir ?
Etes-vous fier ?
Comment pouvee-vous dormir pendant que ceux qui restent pleurent ?
Comment pouvez-vous rêver quand une mère n'a pas la chance de dire au revoir ?
Comment pouvez-vous marcher la tête haute ?
Pouvez vous me regarder dans les yeux et me dire pourquoi ?
Cher Mr le Président,
Etiez-vous solitaire ?
Etes-vous seul ?
Comment pouvez-vous dire :
« Aucun enfant n’est laissé de côté » ?
Nous ne sommes pas muets, nous ne sommes pas aveugles !
Ils sont tous là dans vos cellules,
Tandis que vous payez la route vers l’enfer.
Quel genre de père peut retirer les droits de sa propre fille ?
Et quel genre de père peut haïr sa fille parce qu’elle est gay ?
Je ne peux qu'imaginer ce que la Première Dame doit vous dire …
Vous revenez de loin entre le whiskey et la cocaïne.
Comment pouvez-vous dormir tandis que nous tous pleurons ?
Comment pouvez-vous rêver alorsqu’une mère n’a pas la chance de dire au revoir ?
Comment pouvez-vous marcher en gardant la tête
haute ?
Pouvez-vous seulement me regarder dans les yeux?
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur..
le salaire minimum en attendant un bébé
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur
Reconstruire sa maison après que les bombes
l’aient emportée.
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur.
Construire un lit avec des cartons.
Laissez-moi vous dire ce qu'est le dur labeur.
Dur labeur!
Dur labeur!
Vous ne connaissez rien au dur labeur !
Dur labeur!
Dur labeur!
Comment pouvez-vous dormir tandis que nous tous pleurons ?
Comment pouvez-vous marcher la tête haute ?
Cher Mr le Président,
Vous ne reviendrez plus jamais fair un tour avec moi ?
N’est ce pas ?
Angéline, Mallaury, Justine & Marion (3A)
Only a pawn in their game // Bob Dylan
Only a pawn in their game
(Seulement un pion dans leur jeu)
de Bob Dylan
Présentation:
« Only a Pawn in Their Game » est extrait de l’album « The Times They Are a Changin’ ». Chanson engagée qui parle de l’assassinat de Medgar Evers, un défenseur des droits de l’homme et membre du NAACP (l'association nationale pour la défense des gens de couleur). Sa lutte contre la discrimination des gens noirs et son enquête du meurtre d’Emmet Till lui a coûté la vie.
Bob Dylan a interprété sa chanson devant plus de 200 000 spectateurs le 28 août 1963, après le célèbre discours de Martin Luther King « I have a dream ».
Paroles:
A bullet from the back of a bush took Medgar Evers' blood.
A finger fired the trigger to his name.
A handle hid out in the dark
A hand set the spark
Two eyes took the aim
Behind a man's brain
But he can't be blamed
He's only a pawn in their game.
A South politician preaches to the poor white man,
"You got more than the blacks, don't complain.
You're better than them, you been born with white skin," they explain.
And the Negro's name
Is used it is plain
For the politician's gain
As he rises to fame
And the poor white remains
On the caboose of the train
But it ain't him to blame
He's only a pawn in their game.
The deputy sheriffs, the soldiers, the governors get paid,
And the marshals and cops get the same,
But the poor white man's used in the hands of them all like a tool.
He's taught in his school
From the start by the rule
That the laws are with him
To protect his white skin
To keep up his hate
So he never thinks straight
'Bout the shape that he's in
But it ain't him to blame
He's only a pawn in their game.
From the poverty shacks, he looks from the cracks to the tracks,
And the hoof beats pound in his brain.
And he's taught how to walk in a pack
Shoot in the back
With his fist in a clinch
To hang and to lynch
To hide 'neath the hood
To kill with no pain
Like a dog on a chain
He ain't got no name
But it ain't him to blame
He's only a pawn in their game.
Today, Medgar Evers was buried from the bullet he caught.
They lowered him down as a king.
But when the shadowy sun sets on the one
That fired the gun
He'll see by his grave
On the stone that remains
Carved next to his name
His epitaph plain:
Only a pawn in their game.
Traduction :
Une balle venant du buisson a prit le sang de Medgar Evers.
Un doigt a tiré la gâchette en son nom.
Une poignée s’est cachée dans l’obscurité
Une main a placé la lueur
Deux yeux ont prit
Le derrière d’un cerveau d’homme
Mais il ne peut être accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Un politicien du sud prêche pour le pauvre homme blanc,
« Tu as plus que les noirs, ne te plains pas.
Tu es meilleur qu’eux, tu es né avec la peau blanche », ils expliquent.
Et le nom du nègre
Es servi c’est simple
Pour le profit du politicien
Comme il s’élève pour la renommée
Et le pauvre homme blanc reste
Sur le dernier wagon du train
Mais il n’est pas lui accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Les sheriffs adjoints, les soldats, les gouverneurs ont payés,
Et les commandants et les flics ont de même,
Mais le pauvre homme blanc est servi dans la main d’eux tout comme un outil.
Il a enseigné dans son école
Du début selon la règle
Ces lois sont avec lui
Protéger sa peau blanche
Garder haut sa haine
Alors qu’il ne pense jamais droit
De la situation dans laquelle il est
Mais il n’est pas lui accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Dans les cabanes misérables, il regarde des fentes vers les pistes,
Et le battement des sabots martèle son esprit
Et on lui apprend comment marcher en meute
A tirer dans le dos
Avec son poing
A pendre et à lyncher
A se cacher sous une cagoule
A tuer sans états d’âme
Comme un chien enchaîné
Il n’a pas de nom
Mais il ne peut être accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Aujourd’hui, on a enterré Medgar Evers à cause de la balle qu’il a reçue,
Ils l’ont mis à terre comme un roi
Mais quand le soleil ombragé se pose sur celui
Qui a fait le feu
Il verra sur sa tombe
Sur la pierre qui reste
Taillée à côté de son nom
Sa simple épitaphe
Seulement un pion dans leur jeu.
Mallaury & Mylène (3C)
(Seulement un pion dans leur jeu)
de Bob Dylan
Présentation:
« Only a Pawn in Their Game » est extrait de l’album « The Times They Are a Changin’ ». Chanson engagée qui parle de l’assassinat de Medgar Evers, un défenseur des droits de l’homme et membre du NAACP (l'association nationale pour la défense des gens de couleur). Sa lutte contre la discrimination des gens noirs et son enquête du meurtre d’Emmet Till lui a coûté la vie.
Bob Dylan a interprété sa chanson devant plus de 200 000 spectateurs le 28 août 1963, après le célèbre discours de Martin Luther King « I have a dream ».
Paroles:
A bullet from the back of a bush took Medgar Evers' blood.
A finger fired the trigger to his name.
A handle hid out in the dark
A hand set the spark
Two eyes took the aim
Behind a man's brain
But he can't be blamed
He's only a pawn in their game.
A South politician preaches to the poor white man,
"You got more than the blacks, don't complain.
You're better than them, you been born with white skin," they explain.
And the Negro's name
Is used it is plain
For the politician's gain
As he rises to fame
And the poor white remains
On the caboose of the train
But it ain't him to blame
He's only a pawn in their game.
The deputy sheriffs, the soldiers, the governors get paid,
And the marshals and cops get the same,
But the poor white man's used in the hands of them all like a tool.
He's taught in his school
From the start by the rule
That the laws are with him
To protect his white skin
To keep up his hate
So he never thinks straight
'Bout the shape that he's in
But it ain't him to blame
He's only a pawn in their game.
From the poverty shacks, he looks from the cracks to the tracks,
And the hoof beats pound in his brain.
And he's taught how to walk in a pack
Shoot in the back
With his fist in a clinch
To hang and to lynch
To hide 'neath the hood
To kill with no pain
Like a dog on a chain
He ain't got no name
But it ain't him to blame
He's only a pawn in their game.
Today, Medgar Evers was buried from the bullet he caught.
They lowered him down as a king.
But when the shadowy sun sets on the one
That fired the gun
He'll see by his grave
On the stone that remains
Carved next to his name
His epitaph plain:
Only a pawn in their game.
Traduction :
Une balle venant du buisson a prit le sang de Medgar Evers.
Un doigt a tiré la gâchette en son nom.
Une poignée s’est cachée dans l’obscurité
Une main a placé la lueur
Deux yeux ont prit
Le derrière d’un cerveau d’homme
Mais il ne peut être accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Un politicien du sud prêche pour le pauvre homme blanc,
« Tu as plus que les noirs, ne te plains pas.
Tu es meilleur qu’eux, tu es né avec la peau blanche », ils expliquent.
Et le nom du nègre
Es servi c’est simple
Pour le profit du politicien
Comme il s’élève pour la renommée
Et le pauvre homme blanc reste
Sur le dernier wagon du train
Mais il n’est pas lui accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Les sheriffs adjoints, les soldats, les gouverneurs ont payés,
Et les commandants et les flics ont de même,
Mais le pauvre homme blanc est servi dans la main d’eux tout comme un outil.
Il a enseigné dans son école
Du début selon la règle
Ces lois sont avec lui
Protéger sa peau blanche
Garder haut sa haine
Alors qu’il ne pense jamais droit
De la situation dans laquelle il est
Mais il n’est pas lui accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Dans les cabanes misérables, il regarde des fentes vers les pistes,
Et le battement des sabots martèle son esprit
Et on lui apprend comment marcher en meute
A tirer dans le dos
Avec son poing
A pendre et à lyncher
A se cacher sous une cagoule
A tuer sans états d’âme
Comme un chien enchaîné
Il n’a pas de nom
Mais il ne peut être accusé
Il est seulement un pion dans leur jeu.
Aujourd’hui, on a enterré Medgar Evers à cause de la balle qu’il a reçue,
Ils l’ont mis à terre comme un roi
Mais quand le soleil ombragé se pose sur celui
Qui a fait le feu
Il verra sur sa tombe
Sur la pierre qui reste
Taillée à côté de son nom
Sa simple épitaphe
Seulement un pion dans leur jeu.
Mallaury & Mylène (3C)
Libellés :
Bob Dylan,
Only a pawn in their game
No bravery // James Blunt
No bravery
James Blunt
(James Blunt)
Présentation :
James Blunt a passé plusieurs années dans l’armée anglaise en mission au Kosovo. Devenu chanteur il a écrit No Bravery, magnifique chanson où il évoque le désarroi des hommes jetés au coeur de la sauvagerie des conflits armés. Troisième single de l'album Back To Bedlam, la chanson No Bravery a été écrite par James Blunt alors qu'il était soldat pour l'OTAN dans les Balkans. Cette chanson est avant tout une chanson Anti-Guerre. Elle a été écrite en 2004.
Paroles :
There are children standing here,
Arms outstretched into the sky,
Tears drying on their face.
He has been here.
Brothers lie in shallow graves.
Fathers lost without a trace.
A nation blind to their disgrace,
Since he's been here.
And I see no bravery,
No bravery in your eyes anymore.
Only sadness.
Houses burnt beyond repair.
The smell of death is in the air.
A woman weeping in despair says,
He has been here.
Tracer lighting up the sky.
It's another families‚ turn to die.
A child afraid to even cry out says,
He has been here.
And I see no bravery,
No bravery in your eyes anymore.
Only sadness.
There are children standing here,
Arms outstretched into the sky,
But no one asks the question why,
He has been here.
Old men kneel and accept their fate.
Wives and daughters cut and raped.
A generation drenched in hate.
Yes, he has been here.
And I see no bravery,
No bravery in your eyes anymore.
Only sadness.
Traduction :
Il y a des enfants debout ici
Les bras tendus vers le ciel
Des larmes séchent sur leurs visages
Il est passé par là.
Des frères s'étendent dans des faibles tombes
Des pères perdus sans avoir laissé de trace.
Une nation aveugle à leur disgrâce
Depuis qu'il est passé par là
{Refrain}: X2
Et je ne vois pas de courage
Plus aucun courage dans vos yeux
Seulement de la tristesse
Des maisons brûlées en réparation
L'odeur de la mort est dans l'air
Une femme pleurant de désespoir dit :
Il est passé par ici
Un traceur éclairant le ciel
C'est au tour d'autres familles de mourir
Un enfant effrayé de même pleurer dit :
Il est passé par ici
{Refrain}: X2
Et je ne vois pas de courage
Plus aucun courage dans vos yeux
Seulement de la tristesse
Il y a des enfants debout ici
Les bras tendus vers le ciel
Mais personne ne se pose la question
Pourquoi a-t-il été ici?
Des hommes âgés s'agenouillent et accèptent leur fatalité
Epouses et filles sont lacérées et violées
Une génération baignée de haine
Oui, il est passé par ici.
{Refrain}: X2
Et je ne vois pas de courage
Plus aucun courage dans vos yeux
Seulement de la tristesse
Alice, Camille, Manon (3C)
James Blunt
(James Blunt)
Présentation :
James Blunt a passé plusieurs années dans l’armée anglaise en mission au Kosovo. Devenu chanteur il a écrit No Bravery, magnifique chanson où il évoque le désarroi des hommes jetés au coeur de la sauvagerie des conflits armés. Troisième single de l'album Back To Bedlam, la chanson No Bravery a été écrite par James Blunt alors qu'il était soldat pour l'OTAN dans les Balkans. Cette chanson est avant tout une chanson Anti-Guerre. Elle a été écrite en 2004.
Paroles :
There are children standing here,
Arms outstretched into the sky,
Tears drying on their face.
He has been here.
Brothers lie in shallow graves.
Fathers lost without a trace.
A nation blind to their disgrace,
Since he's been here.
And I see no bravery,
No bravery in your eyes anymore.
Only sadness.
Houses burnt beyond repair.
The smell of death is in the air.
A woman weeping in despair says,
He has been here.
Tracer lighting up the sky.
It's another families‚ turn to die.
A child afraid to even cry out says,
He has been here.
And I see no bravery,
No bravery in your eyes anymore.
Only sadness.
There are children standing here,
Arms outstretched into the sky,
But no one asks the question why,
He has been here.
Old men kneel and accept their fate.
Wives and daughters cut and raped.
A generation drenched in hate.
Yes, he has been here.
And I see no bravery,
No bravery in your eyes anymore.
Only sadness.
Traduction :
Il y a des enfants debout ici
Les bras tendus vers le ciel
Des larmes séchent sur leurs visages
Il est passé par là.
Des frères s'étendent dans des faibles tombes
Des pères perdus sans avoir laissé de trace.
Une nation aveugle à leur disgrâce
Depuis qu'il est passé par là
{Refrain}: X2
Et je ne vois pas de courage
Plus aucun courage dans vos yeux
Seulement de la tristesse
Des maisons brûlées en réparation
L'odeur de la mort est dans l'air
Une femme pleurant de désespoir dit :
Il est passé par ici
Un traceur éclairant le ciel
C'est au tour d'autres familles de mourir
Un enfant effrayé de même pleurer dit :
Il est passé par ici
{Refrain}: X2
Et je ne vois pas de courage
Plus aucun courage dans vos yeux
Seulement de la tristesse
Il y a des enfants debout ici
Les bras tendus vers le ciel
Mais personne ne se pose la question
Pourquoi a-t-il été ici?
Des hommes âgés s'agenouillent et accèptent leur fatalité
Epouses et filles sont lacérées et violées
Une génération baignée de haine
Oui, il est passé par ici.
{Refrain}: X2
Et je ne vois pas de courage
Plus aucun courage dans vos yeux
Seulement de la tristesse
Alice, Camille, Manon (3C)
Dreaming on a world // Tracy Chapman
Petit mot sur cette musique:
Cette chanson est tirée de l’album « Matter of The Heart » qui a vu sa première sortie en 1992. Tracy CHAPMAN crée un énorme succès auprès de ses fans grâce à cette musique intitulée « Dreaming on a world ». Suite à ça, ils réclameront encore et encore des musique du genre « engagé » et c'est pour cela que Tracy CHAPMAN sortira une dizaine d’autres chansons engagées.
Dans cette chanson, elle parle d’un monde ou la justice et l’égalité font leur devoir.
Texte original :
Faute de nombreuse plaintes de diverses maisons d’édition, la musique ne peut être diffusée que sur le site officiel du chanteur , c’est pour cela que je vous mets seulement le lien où on peut trouver la chanson :
http://www.tracychapman.com/
Dreaming On A World (Rêver D'un Monde)
Je sais que je peux espérer un monde qui ne pourra jamais être mais je continuerai d'espérer cela peut sembler sans espoir ou être une folie je continuer a espérer je lance mes pièces dans la fontaine je cherche des trèfles dans l'herbe je cherche des étoiles filantes dans la nuit je croise les doigts et je rêve je sais que je peux rêver d'un monde loin de la réalité présent mais je continuerai de rêver cela peut sembler irréaliste ou cela peut sembler naïf je continue toujours de rêver lancez vos pièces dans la fontaine cherchez des trèfles dans l'herbe cherchez des étoiles filantes dans la nuit croisez les doigts et rêvez nous devons toujours penser a un monde comme a un endroit aux possibilités infinies et toujours continuer d'y penser cela peut sembler sans espoir ou être une folie et toujours continuer d'y penser et lançons nos pièces dans la fontaine cherchons des trèfles dans l'herbe cherchons des étoiles filantes dans la nuit croisons nos doigts et rêvons je continuerai d'espérer nous devons toujours continuer de rêve d'un monde d'égalité et de justice penser que cela pourrai être un monde sans misère ni maladie souhaiter un monde sans famine ni sans-abri rêver d'un monde ou tous le monde vit en paix
Matthieu & Benjamin (3C)
Cette chanson est tirée de l’album « Matter of The Heart » qui a vu sa première sortie en 1992. Tracy CHAPMAN crée un énorme succès auprès de ses fans grâce à cette musique intitulée « Dreaming on a world ». Suite à ça, ils réclameront encore et encore des musique du genre « engagé » et c'est pour cela que Tracy CHAPMAN sortira une dizaine d’autres chansons engagées.
Dans cette chanson, elle parle d’un monde ou la justice et l’égalité font leur devoir.
Texte original :
Faute de nombreuse plaintes de diverses maisons d’édition, la musique ne peut être diffusée que sur le site officiel du chanteur , c’est pour cela que je vous mets seulement le lien où on peut trouver la chanson :
http://www.tracychapman.com/
Dreaming On A World (Rêver D'un Monde)
Je sais que je peux espérer un monde qui ne pourra jamais être mais je continuerai d'espérer cela peut sembler sans espoir ou être une folie je continuer a espérer je lance mes pièces dans la fontaine je cherche des trèfles dans l'herbe je cherche des étoiles filantes dans la nuit je croise les doigts et je rêve je sais que je peux rêver d'un monde loin de la réalité présent mais je continuerai de rêver cela peut sembler irréaliste ou cela peut sembler naïf je continue toujours de rêver lancez vos pièces dans la fontaine cherchez des trèfles dans l'herbe cherchez des étoiles filantes dans la nuit croisez les doigts et rêvez nous devons toujours penser a un monde comme a un endroit aux possibilités infinies et toujours continuer d'y penser cela peut sembler sans espoir ou être une folie et toujours continuer d'y penser et lançons nos pièces dans la fontaine cherchons des trèfles dans l'herbe cherchons des étoiles filantes dans la nuit croisons nos doigts et rêvons je continuerai d'espérer nous devons toujours continuer de rêve d'un monde d'égalité et de justice penser que cela pourrai être un monde sans misère ni maladie souhaiter un monde sans famine ni sans-abri rêver d'un monde ou tous le monde vit en paix
Matthieu & Benjamin (3C)
Libellés :
Dreaming on a world,
Tracy Chapman
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